Le bien-être des équidés

Le bien-être, quelques généralités

Cette brochure vise à la sensibilisation au bien-être des équidés. Son format ne permettait pas d’approfondir davantage les thèmes traités mais le site web de l’asbl Les Compagnons des Prés sera alimenté progressivement avec des articles plus détaillés. Le bien-être d’un animal se définit comme un « état mental et physique positif lié à la satisfaction de ses besoins physiologiques et comportementaux, ainsi que de ses attentes. Cet état varie en fonction de la perception de la situation par l’animal » (ANSES, 2019).

Le bien-être peut être évalué par des spécialistes selon différents paramètres. Ces derniers sont environnementaux (quantité de nourriture distribuée, accessibilité des abris…) et corporels, directement liés à l’état de l’animal. Le programme AWIN est un protocole d’évaluation basé sur 4 grands principes, déclinés en 12 critères d’évaluation :

  1. Une nutrition appropriée : nourriture adaptée, absence de soif prolongée.
  2. Un hébergement approprié : confort pour le repos, confort thermique, facilité de mouvement.
  3. Une bonne santé : absence de blessure, de maladie et de douleur.
  4. Comportement approprié : expression de comportements sociaux, expression des comportements de l’espèce, bonne relation homme-cheval, état émotionnel positif.

Cette brochure abordera ces 4 principes qui sont essentiellement axés sur le cheval au repos.

Pour le cheval au travail, il n’existe pas de protocole d’évaluation du bien-être. Néanmoins, les comportements décrits ci-dessous peuvent témoigner d’un mal-être au travail :

  • Agitation, hyper-réactivité, postures d’alerte, sudation, vocalisations…
  • Défenses importantes qui peuvent s’exprimer de différentes façons : Encensement, refus d’avancer, jeté de postérieurs ou blocage lors d’un départ au galop, cheval qui se cabre, ruades, demi-tours, accélérations…

Différents facteurs peuvent être à l’origine de ces défenses : douleur, peur, comportements involontairement appris, incompréhension des demandes du cavalier… Si vous remarquez ces comportements chez un équidé, veillez à le signaler aux personnes concernées (responsable, propriétaire…). Il est important de ne pas laisser l’animal dans l’inconfort.

Conséquences de conditions inadaptées

Une des conséquences, souvent banalisée, est la stéréotypie, aussi appelée « tics ». Ce sont des sé-quences de mouvements répétitifs et relativement invariants, sans but ni fonction évidente. Ces comportements sont développés en réponse au stress, à l’ennui, à la privation de contacts entre équidés, au manque de fourrage… Il en existe deux types : les stéréotypies orales, comme le tic à l’air ou le tic à l’appui. Et les stéréotypies locomotrices, comme le tic de l’ours ou l’encensement.

Dans des cas plus graves de mauvaises conditions, les conséquences peuvent être la dégradation de l’état corporel et/ou psychologique de l’équidé pouvant aller jusqu’à la mort. Il est donc important de comprendre les besoins physiques et psychologiques de l’équidé afin de répondre au mieux à ses besoins.

L’hébergement

Quel que soit le logement, celui-ci doit répondre à certaines conditions pour respecter le bien-être du cheval :

  • Il est dépourvu de tout élément pouvant causer des blessures ou mettre en danger l’équidé y résidant.
  • Son éclairage est suffisant et alterne entre lumière et obscurité.
  • La ventilation est adaptée : l’environnement n’est pas saturé de poussières (visibilité non compromise).
  • Le taux d’humidité est compris entre 40 et 70%. Les odeurs d’ammoniaque ne sont pas perceptibles.
  • L’équidé doit pouvoir se protéger de la chaleur et du froid.
  • L’eau doit être disponible et propre en tout temps.

Possibilités d’hébergement

Plusieurs possibilités existent pour héberger son équidé. En voici une liste non-exhaustive.

Les boxes

Souvent intérieurs, ils sont individuels. Certains permettent des contacts physiques entre équidés, d’autres non. Il n’existe pas de règles sur des dimensions obligatoires pour un boxe. Néanmoins l’équidé doit être en mesure de se déplacer, se coucher, se rouler, sans risquer de se blesser.

La prairie

Espace en herbe dans lequel les chevaux peuvent se dépenser et interagir à leur convenance.

Le paddock

Espace souvent pauvre en herbe, le sol peut être en sable ou en terre battue.

Le paddock paradise

Sous forme de couloir, des points d’eau et de nourriture y sont dispersés. Cela permet au cheval de reproduire un comportement naturel qui est de marcher pour trouver eau et nourriture.

La stabulation

Principe du boxe collectif, elle peut être intérieure ou extérieure.

Logements extérieurs, remarques

Pour les logements extérieurs, une attention particulière doit être portée sur la nourriture pour que chaque équidé puisse manger, quelle que soit sa place dans le troupeau.

Comme pour les boxes, il n’existe pas de consensus scientifique sur les dimensions minimums des logements extérieurs.

Avec le surpâturage, les prairies sont pauvres en éléments nutritifs. L’alimentation des équidés doit alors être complémentée en fonction de leurs besoins.

De plus, il est conseillé de faire régulièrement le tour de vos prairies afin de voir ce qui y pousse car certaines plantes sont toxiques pour le cheval. En cas de doute sur la toxicité d’une plante, il est nécessaire de vous renseigner auprès de votre vétérinaire.

Rappelons que le cheval est un être social dont l’instinct grégaire est très développé. Il a d’importants besoins de mouvement. Il semble alors évident qu’une vie passée exclusivement dans un boxe n’est pas adaptée à son bien-être. Notons toutefois que ce dernier peut présenter parfois des avantages (chevaux nécessitant des soins particuliers, une alimentation particulière…).

L’alimentation

La plupart des informations suivantes proviennent de la section « Besoins alimentaires » d’Equisense.

Dans la nature, le cheval passe 15 à 16 heures à s’alimenter. Il se déplace lentement, la tête au sol. Il peut se déplacer 1 à 2 heures par jour pour changer de pâture, ou trouver de l’eau. Si l’herbe est rare ou que sa qualité nutritionnelle est médiocre, il peut augmenter son temps de pâturage et couvrir de longues distances afin de chercher une herbe de meilleure qualité.

Ce comportement n’est évidemment pas possible pour un cheval domestiqué. Même en vivant dans une grande prairie clôturée, leur choix de fourrage est limité.

Tout comme les humains, les chevaux n’ont pas tous les mêmes besoins. Son métabolisme de base varie selon leurs races et leurs caractéristiques génétiques. Les besoins alimentaires dépendent des besoins physiologiques de votre cheval, de son état corporel et de l’intensité de son travail. Il est important d’adapter l’alimentation à chaque cheval.

Quelques notions à connaître pour mieux comprendre l’alimentation de l’équidé :

  • Leurs dents poussent en continu. Elles sont adaptées à la consommation de grandes quantités de fourrage qui assurent leur usure régulière.
  • Leur estomac est petit, il vaut donc mieux fractionner leur nourriture en plusieurs repas peu conséquents. Un repas trop volumineux engendre une digestion incomplète dans l’estomac et l’intestin grêle, ainsi qu’un afflux important dans son gros intestin, ce qui peut causer des coliques.
  • L’absence de consommation d’aliment pendant une longue période entraîne une acidification de l’estomac, et contribue à l’apparition d’ulcères.
  • Le cheval doit manger vers le bas. Cela respecte son anatomie, sa physiologie et son système digestif. On réduit ainsi les risques de coliques et de bouchons œsophagiens. Cette position favorise également l’usure des dents.

Tous Les chevaux n’ont pas les mêmes besoins. Il est important d’adapter l’alimentation à chaque cheval.

Les besoins nutritionnels

Des protéines

Principaux constituants de l’organisme (muscles, hormones…). Elles sont apportées sous forme d’acides aminés, via la digestion.

Des vitamines

Hormis les vitamines B et D, le cheval est incapable de les synthétiser. Elles doivent donc être apportées par les aliments.

Des minéraux

On en distingue deux types : les macro-éléments qui constituent les tissus et les oligo -éléments qui sont indispensables au fonctionnement de l’organisme.

De l’énergie

Carburant du cheval. Ses besoins énergétiques sont exprimés en UFC = Unité Fourragère Cheval.

Le cheval et les céréales

C’est la domestication du cheval et son utilisation par l’homme qui ont imposé le recours aux céréales. A l’époque, le fourrage disponible dans les prés ne suffisait pas à couvrir les besoins du cheval physiquement sollicité par l’homme. Les céréales sont ingérées plus rapidement que le fourrage et sont plus riches en énergie. Bien que pratique pour l’homme, les céréales ont leur lot d’inconvénients.

Il ne faut pas les bannir de la ration, mais elles ne peuvent pas constituer la base d’une alimentation saine. Le cheval doit principalement se nourrir de fourrage.

Que reproche-t-on aux céréales ? Elles sont (1) trop riches en amidons, qui favorisent l’apparition de certaines pathologies, (2) sont pauvres en protéine, (3) ont des carences en micronutriments, (4) et ont un déséquilibre entre acides gras essentiels et micronutriments.

Alimentation sans céréales

Le foin

Herbe séchée ; (85 % de matière sèche), il est important de rester vigilant à la poussière.

Le préfané

Composé de 50 à 75 % de matière sèche, il bénéficie d’une absence de poussière. Il est plus riche en énergie et protéines que le foin, mais carencé en vitamines A et E.

Luzerne déshydratée

Riche en protéines, vitamine E et calcium, mais les minéraux y sont équilibrés. Bénéficie aussi d’une absence de poussière, a un apport de nutriments de bonne qualité et est pauvre en sucre.

Pulpe de betterave

Attention, il est nécessaire de la ré-hydrater. Ne contient ni sucre, ni amidon et est moins calorique que du grain. Elle présente la même qualité et quantité de protéines que les céréales.

Bien entendu, il n’existe pas de recette miracle, l’alimentation doit être réfléchie en fonction des besoins particuliers de chaque individu. Pour cela, n’hésitez pas à prendre conseils chez votre vétérinaire.

Les soins primordiaux

Vaccins

Le cheval est un herbivore monogastrique, ce qui signifie qu’il ne rumine pas. A l’état naturel, il passe de 15 à 16 heures par jour à brouter. Il effectue un pâturage ras et mastique longuement ses bouchées, il est donc essentiel qu’il ne soit pas gêné, par exemple par des déformations ou apparitions de surdents.  Dans des cas extrêmes, l’inconfort peut être tel que le cheval arrête de s’alimenter.

La bonne valorisation de l’alimentation dans le tube digestif dépend d’une bonne mastication. Il est donc important qu’un cheval soit régulièrement vu par un dentiste équin afin qu’il vérifie que rien ne gêne sa mastication. Idéalement, une fois tous les deux ans environ pour un équidé sans souci particulier.

Vermifuge

Un vermifuge est un médicament antiparasitaire qui permet d’éradiquer les vers parasites. Puisqu’il s’agit d’un médicament qui peut être toxique, il doit toujours être prescrit par votre vétérinaire, et il est primordial que le dosage selon le poids de l’animal soit respecté. Comme l’explique l’article « 4 idées reçues sur les vermifuges pour chevaux » (EQUISENSE), nous avons tendance à banaliser le parasitisme. En ce sens, les vétérinaires sont malheureusement de plus en plus souvent confrontés à des cas de parasitoses incurables : le cheval est infesté par des parasites qu’aucun vermifuge ne peut éliminer.

Néanmoins, il ne faut pas chercher à supprimer tous les parasites, car cela favoriserait l’apparition de résistances aux produits. De plus, il est normal qu’un cheval équilibré et en bonne santé possède des parasites qui sont présents naturellement dans son appareil digestif.

Il existe plusieurs manières de vermifuger un équidé :

  • La manière classique : vermifugation chimique systématique 3 à 4 fois par an.
  • La manière sélective : faire une coproscopie qui indique s’il faut vermifuger ou non, et, précise quel vermifuge sera le plus adapté.
  • La manière naturelle : à base de produits naturels.

Quand vermifuger ? Les moments idéaux sont l’automne et le début du printemps. En hiver, il y a très peu d’excrétion d’œufs de parasites dans l’environnement, les chevaux se réinfestent peu.

Pieds

Le pied du cheval est composé de kératine, une structure suffisamment rigide pour protéger les structures internes du pied mais aussi suffisamment souple pour jouer un rôle d’amortisseur. Les pathologies du pied sont nombreuses. Certaines n’affectent que la locomotion du cheval tandis que d’autres ont un impact sur sa santé générale.

Bien que cela ne mette pas à l’abri de tout problème, il est nécessaire d’entretenir les sabots afin d’éviter des pathologies, et maintenir le confort de l’animal au maximum.

Certains propriétaires préfèrent laisser leur cheval pieds nus, tandis que d’autres posent des fers. Nous n’aborderons pas le débat sur le sujet, mais notons toutefois que :

Le pied ferré :

  • Empêche la fourchette de jouer son rôle d’amortisseur et de pompe aidant le sang à remonter jusqu’au cœur.
  • Augmente les chocs dans les tendons car sa matière est très dure.
  • Peut-être orthopédique et donc soulager de manière importante certaines pathologies ou corriger de mauvais aplombs.
  • Permet au cheval d’être tout-terrain, il n’aura mal sur aucun sol. Il est possible de cramponner le fer pour que le cheval ne glisse pas sur l’herbe, par exemple.

Le pied nu :

  • Permet de maintenir plus facilement la biomécanique du pied en équilibre : il est possible de parer quelques millimètres une fois par semaine, ce qui n’est pas faisable avec un fer.
  • Le pied peut pousser comme il le souhaite (le fer représente une barrière physique).
  • La fourchette peut jouer son rôle d’amortisseur et de pompe.
  • L’équidé ne sait pas perdre son fer : il ne risque pas de se blesser ou de boiter en se déférrant.

Quel que soit votre choix, gardez à l’esprit que le ferrage ou le pied nu doit avant tout convenir à votre cheval. Observez, faites des essais et prenez conseil auprès de professionnels.

Le matériel

Selle

Elle doit être adaptée au dos de votre cheval pour ne pas le gêner. Il existe autant de chevaux que de dos différents. Une selle mal adaptée provoquera des douleurs liée aux pressions mal réparties, du frottement, de l’accumulation de chaleur, un cisaillement désagréable. Il est conseillé de faire adapter votre selle par un saddle fitter (personne qui adapte les selles). Ce dernier tiendra compte de la morphologie et des particularités de votre cheval afin de lui apporter un maximum de confort. Si votre selle est adaptée, elle n’a à priori pas besoin d’un amortisseur, cela peut même altérer le confort, voire créer des douleurs.

Tapis

Trop de selles bien adaptées sont gâchées par l’inconfort d’un tapis inadapté. Un tapis doit être adapté à la selle et au cheval.

Ci-dessous, quelques critères auxquels il faut prêter attention :

  • Le tapis doit être facilement dégarrotable et rester en place durant toute votre séance. Si le tapis retombe sur le garrot, le poids de la selle et celui du cavalier exercent une forte pression sur le garrot du cheval.
  • Sa forme doit correspondre à celle de votre selle. Les quartiers ne peuvent pas dépasser du tapis.
  • Le tapis possède des bordures, et souvent des cordelettes décoratives.
  • Les selles ne peuvent pas être déposées sur celles-ci. La pression de la selle doit s’exercer sur la matelassure du tapis. Autrement cela crée des points de pressions, voire des douleurs.
  • La courbure du tapis doit être adaptée à la forme du dos de votre cheval. Un tapis droit ne conviendra pas à un cheval avec un fort garrot.
  • Veillez à attacher votre tapis à votre selle, les passants sont là pour aider le tapis à rester à sa place et à ne pas gêner la monture.
  • Pensez à choisir des matières confortables et transpirantes, et veillez à laver régulièrement vos tapis.

Mors et ennasures

Du mors sévère au plus doux sidepull (si bien utilisé), il existe de nombreuses possibilités pour guider son cheval. Etant donné l’impact que cela peut avoir, il est important de se renseigner sur l’action et l’utilisation de l’outil que vous choisirez pour guider votre monture. Au vu du grand choix existant, cela vaut la peine de chercher ce qui conviendra le mieux au couple cavalier-cheval. Sachez qu’il existe des bit-fitter (adaptateur de mors) qui vous aideront à choisir un mors qui convient à votre monture.

Autres

Qu’il s’agisse de licols, couvertures, protections des membres ou tout autre matériel équin, veillez à vérifier qu’il soit bien utile à votre équidé et non uniquement décoratif. Une utilisation correcte du matériel est primordiale au bien-être du cheval. La tendance veut souvent habiller nos chevaux afin qu’ils soient à la mode, parfois au détriment du confort et du bien-être. 

Les professionnels

Entourez-vous de professionnels compétents, en qui vous avez confiance. Un vétérinaire, un maréchal ou un pareur, un ostéopathe et un bon dentiste sont la « base » des professionnels que vous devriez avoir dans votre liste de contacts. Prenez le temps de trouver des professionnels qui vous conviennent, et surtout, qui conviennent à votre cheval. Outre les métiers déjà cités, sachez qu’il existe d’autres professions, dites alternatives, qui pourront vous aider à améliorer le bien-être de votre équidé. Le Shiatsu, le Crânio-sacré, le Reiki, la Communication animale, saddle fitter, bit fitter… et bien d’autres dont vous trouverez des descriptions complètes sur notre site.

Bibliographie

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